Le modèle cosmologique standard, couramment utilisé pour décrire la géométrie et la dynamique de l’Univers, est basé sur l’hypothèse d’homogénéité de la distribution de matière à grande échelle. Or, les observations de l’Univers qui nous entoure font apparaître des structures à des échelles diverses et allant croissant avec la finesse des technologies d’investigation : amas et super-amas de galaxies, filaments, murs, vides, etc. De plus, avec l’avènement de grands relevés d’observations de précision, des anomalies et tensions se sont développées au sein de ce modèle standard.

Afin de prendre en compte de manière plus affinée l’impact des structures sur les propriétés cosmologiques et dans le but de gommer les tensions du modèle standard, des modèles d’Univers inhomogènes sont développés et confrontés aux observations.